• Rêve du 13 janvier

    Cela faisait un moment que je ne me souvenais plus de mes rêves. Mon sommeil est vraiment de piètre qualité depuis quelques mois. J'ai réalisé que depuis je prends du miel avec du lait chaud, j'arrive à rêver et surtout à m'en souvenir. J'ai eu plusieurs rêves. 

    Première partie.

    Je me baladais en campagne, américaine pour être plus précis, quoique je ne suis pas sûre. Je respirais bien et me sentais heureuse en me déambulant parmi ses prés et autres terrains. Il faisait beau. Je croisai beaucoup d'animaux en totale liberté de même que les chevaux s'épanouissant dans les prairies. A un moment, je me suis arrêtée devant un verger de pommes. Elles étaient bien rouges et j'étais vraiment impressionnée. Je voulais en goûter. Elles semblaient si juteuse. 

    Alors je vis une mère de famille avec des enfants qui semblaient récolter ces pommes. Alors la mère de famille me fait entrer. Ils avaient tous des habits rétro du 19 ème siècle. Je trouvais cela très étrange. C'était un peu le stéréotype de la famille d'agriculteurs américains. 

    (Maintenant que j'y pense  cette partie de mon rêve me fait penser à Idunn car la maman avait le même physique que la Idunn que j'imagine) 

    Après nous sommes rentrés dans la vieille maison coloniale pour faire une superbe soirée qui tourna en orgie, il faut bien l'avouer.  (#dontjudgeme)

     Le lendemain, je partis de la maison pour essayer de retrouver mon chemin. Hélas, je me perdis dans l'immensité de la ville. La nuit tombant, je me dirigeai naturellement vers un bar faisant également hôtel. Il fallait avouer que la devanture décrépite verte ne me faisait guère envie, mais je n'avais pas vraiment d'autre choix. En plus, je n'avais plus d'argent sur moi ni carte de crédit. J'entrai alors à contre coeur. Etant  la seule femme dans ce bar, je me fis rapidement entourer par la clientèle masculine. J'acceptai alors une bière payée par un client de ce bar miteux.

    Quatre se joignirent donc à ma table. N'ayant pas d'argent, je décidai de négocier afin d'avoir une chambre et de quoi dormir. Alors je marchandai que chaque homme avait le droit de partager mon lit s'ils acceptaient de me payer afin de prendre la chambre pour plusieurs jours. Très intéressé par cette idée, ils me suivirent dans les toilettes. Alors étonné par leur présence dans ce lieu étroit avec moi, ils s'exclamèrent : 

    -C'est maintenant que tu vas nous payer en nature *rire de gros pervers* 

    Au même moment ils commencèrent à défaire leur braguette et leur pantalon tomba sur leur chevilles. Je profitai de ce moment pour sortir des toilettes avec l'aide d'un complice, un ami de longue date, qui avait assisté à tout depuis le début. Alors les bikers se retrouvèrent honteux devant tout le bar, avec une érection du tonnerre  et leur pantalon sur leurs chevilles. Je ne pus m'empêcher de rire à gorge déployée à cette scène. Même le patron, un nain d'une extrême laideur m'applaudit suivi de près par les autres clients. Je me rapprocha alors de lui. Il m'offrit la clé d'une chambre. Pour le remercier je l'embrassa sur la joue. 

    - Toi, gamine, je t'aime déjà ! 

    Et je montai les escaliers pour me retrouver dans ma chambre avec mon ami. 

     

    Deuxième partie : 

     Alors voici la partie la plus glauque et dérangeante. J'étais avec mon grand frère à la recherche d'une église dans laquelle il pourrait aller se confesser (mon frère n'est pas croyant IRL). Il était assez porté sur la religion enfin même pas la religion catholique mais plutôt il suivait le dogme d'un ancien ordre ayant prié aux prémices de la chrétienté. Il était assez illuminé. Enfin nous trouvâmes une église qui semblait lui convenir.  Je poussai alors la grosse porte en bois sculpté. Et je fus stupéfaite par ce que je découvris : devant se dressait un bar avec plusieurs clients au style metal. Peu sûre de moi, je me suis assise au niveau du comptoir tandis que le gérant du bar emmenait mon frère dans l'arrière boutique, une sorte de chapelle. Alors une blonde en face de moi commença à me critiquer : Eh mais tu es bien maigrichonne ! Il faut manger hein ! Mais tu es tout petite aussi ! Je suis sûre que tu ne fais même pas 1m50 ! 

    Voyant rouge, je me lance alors sur elle pour lui asséner un coup de poing bien placé. Il s’avéra qu'elle fut aussi grande que moi. Sans crier gare, le gérant du bar était revenu et m'a tapé à l'aide de son poing américain. Il ressemblait à Lemmy Killmister. Je me lançai alors une bagarre acharnée de bar.

     

     


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